Julie Fuchs Taille – Julie Fuchs est décédée à Avignon à l’âge de 33 ans. Ses parents travaillent dans le domaine médical ; son père est directeur d’entreprises et sa mère est infirmière. Elle s’inscrit à des cours de violon au conservatoire alors qu’elle n’a jamais eu de formation formelle en arts. Cependant, ses professeurs de natation l’ont remarqué. Elle commence immédiatement une formation pour le chant et le violon.
Lors du festival d’Avignon, Julie, alors étudiante au Conservatoire, et ses camarades forment un quintette a cappella et descendent dans la rue. La musique traditionnelle européenne et le jazz vocal seront au programme. C’est une excellente occasion de gagner de l’argent supplémentaire pendant que les enfants ne sont pas à l’école. Au conservatoire, la brune a reçu les premiers prix pour ses performances vocales et violonistiques.
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Julie Fuchs a quitté le conservatoire à l’âge de 18 ans pour se consacrer à sa carrière de chanteuse après s’être inscrite pour la première fois à l’alto. Johnny a chanté à elle. Elle a chanté une émouvante interprétation de “Ave Maria” de Schubert avec le violoniste Gautier Capuçon à l’église de la Madeleine à Paris le 9 décembre, pendant que le père Gilbert encensait le cercueil de la rock star. Après quelques saisons captivées par les lyricomanes par la voix délicate de la soprano française, le public le découvre.
Toute sa carrière a été consacrée aux rôles comiques.
De son interprétation de la Comtesse de Folleville dans “Voyage à Reims” de Rossini à l’Opéra de Zurich à son grand succès de la saison 2013 “Ciboulette” à l’Opéra-Comique dans “la Folie” en passant par son interprétation d’Eliza Doolittle dans “My Fair Lady”. à Metz, cette joyeuse spectaculaire enchaîne toujours des rôles nouveaux et passionnants. Malgré cela, elle a déclaré en 2015 qu’elle ne « se confine pas à des rôles de rigolotes » ; elle interprète “la Fille du régiment” à Lausanne et tient un triste rôle dans “Lucia di Lammermoor” à l’Opéra d’Avignon.
Elle a remporté le prix de l’Opéra-Comique.
Quelle présentation ! Dès le début de la représentation par Julie Fuchs du “Comte Ory” de Rossini à l’Opéra-Comique le 19 décembre, le public exigeant savait qu’elle briserait la baraque. Son ton est plein de grâce, de puissance et de délicatesse même dans les notes les plus aiguës et les plus aiguës, et elle chante la belle mélodie avec la même grâce que les chansonnettes.
Ses responsabilités de parole ont été remplies.
Après que “l’Obs” ait approché la soprano, celle-ci a choisi de ne pas parler, selon son attachée de presse embarrassée. L’ensemble de l’événement est une performance artistique et physique – deux heures de belle musique jouée par un orchestre complet – évidemment sans micro. Comme tout athlète, un chanteur mérite des éloges. “On ne demande pas à Usain Bolt un footing supplémentaire la veille des JO…” En revanche, Julie Fuchs répond aux mails minute par minute.
Rejointe par Björk sur scène, elle
La jeune Avignonnaise s’est essayée à l’auteur-compositeur-interprète de l’île en l’an 2000. “C’est dans le cadre du projet ‘Voices of Europe’, coordonné par Reykjavik et réunissant en 2000 dix jeunes chanteurs de chaque capitale culturelle, y compris Avignon”, déclare Julie dans un e-mail de suivi. Parmi les plus jeunes, j’ai été sélectionné pour le jury. Ce projet m’a permis de passer un mois à chanter à travers l’Europe.
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En raison de son rôle de personnage secondaire dans “Dancer in the Dark” de Lars von Trier, Björk a été contrainte d’annuler la majorité de ses apparitions. C’est elle qui a remporté toutes les récompenses. Après avoir quitté Avignon, elle poursuit ses études de chant au Conservatoire Supérieur de Paris. Après avoir décroché la première place et reçu les félicitations du jury, elle remporte tout. Victoires d’Aix-en-Provence 2011. festival en-Provence, “Révélation classique” de l’ADAMI en 2009, etc.
Elle a un palais diversifié.
Faisant ses débuts en 2009 au Théâtre du Châtelet, le jeune chanteur chante “The Sound of Music” (ou “la Mélodie du bonheur”), une comédie musicale. Dans le rôle de Maria, une jeune fille aux capacités magiques qui s’échappe d’un couvent en se transformant en reine, elle partage la vedette avec deux autres chanteuses.
Parmi mes nombreux rôles lyriques marquants du répertoire classique figurent Galatée dans “Acis et Galatée” de Haendel interprétée au Festival d’Aix-en-Provence 2011, Susanna dans “Les Noces de Figaro” de Mozart interprétée à l’Opéra de Zurich 2012, Esther dans “Trompe-la-mort”, une composition de Luca Francesconi, interprétée au Palais-Garnier 2016, Nanette dans “Falstaff” de Verdi interprété à l’Opéra-Bastille 2017, et bien d’autres encore.
Barbara a disparu il y a vingt ans et elle faisait partie du dossier commémoratif pour elle l’automne dernier. Enfin, on la verra au Théâtre des Champs-Elysées en février prochain, dans le rôle d’Alcina dans Alcina de Haendel. Même les opéras-bouffes et opérettes d’Offenbach pourraient avoir des moments plus légers ! Dans “Falstaff” de Verdi mis en scène à l’Opéra-Bastille, Julie Fuchs utilise sa main gauche pour incarner Nanette.
C’est une bête massive digne de la scène.
Cette fois-ci, ce n’est pas la soprano qui joue le rôle du Comte Ory, mais plutôt un jeune page qui développe des sentiments pour une belle comtesse dévastée par un chagrin d’amour. C’est décourageant de voir comment elle se traite. La boucherie est sous la direction de Jacqueline Maillan, tandis que le savoir-faire culinaire est détenu par Camille Cottin. Sans recourir au langage vulgaire ni à l’imitation outrancière, Makemoiselle Julie brûle les planches.
(Fleury, Claire)
Gioachino Rossini a modifié “Le Comte Ory” à partir d’une composition originale d’Eugène Scribe. Louis Langrée dirigeait l’orchestre sous la direction de Denis Podalydès. Christian Lacroix s’est chargé des costumes, tandis qu’Eric Ruf s’est chargé des décors. À l’affiche de l’Opéra-Comique jusqu’au 31 décembre, avec deux représentations en janvier 2018 à l’Opéra royal de Versailles.
Julie Fuchs est née en Provence en 1984 et y a également passé sa jeunesse. Elle s’inscrit au Conservatoire d’Avignon pour étudier le violon et la musique, mais son objectif initial était de devenir danseuse. En assistant régulièrement aux répétitions générales de l’Opéra d’Avignon, elle réalise enfin son rêve de toujours : devenir chanteuse.
A dix-huit ans, elle commence une formation vocale puis s’inscrit à des études de théâtre. Elle fait ses débuts sur scène en interprétant un large éventail de styles musicaux, des standards de jazz et opérettes à l’opéra baroque et à la musique moderne, après avoir remporté la première place au violon. “Il manque un pour faire un sextuor.”
En plus de devenir choriste de Björk, elle forme également un quatuor de chant avec plusieurs amis. Elle étudie l’interprétation vocale de 2006 à 2008 au Conservatoire national supérieur de musique, d’abord auprès de Robert Dumé puis auprès d’Alain Buet. Après avoir obtenu son diplôme en 2010, elle reçoit le premier prix de chant soprano.
Shirley et Dino ont produit King Arthur de Purcell à l’Opéra Royal de Versailles cette année-là, et elle est devenue célèbre cette année-là pour ses performances dans deux opéras : Suzanne des Noces de Figaro de Mozart à la Cité de la Musique de Paris, dirigé par Kenneth Weiss. Elle réalise un album des mélismes de jeunesse de Mahler et Debussy avec le pianiste Alphonse Cemin et devient marionnette dans “Tous à l’Opéra” avec Ruggiero Raimondi la même année où elle est nommée “découverte lyrique” aux prix de musique.
Actuellement, il connaît une progression de travail incroyablement rapide. Elle fait ses débuts sur scène dans le rôle de Musetta dans La Bohème de Gioachino Rossini à l’Opéra de Nantes Angers. Dans My Fair Lady de Loewe, elle chante le rôle de la ravissante Eliza Doolittle à Metz. Elle s’est produite avec Laurence Equilbey dans la direction de La Grande Messe en ut mineur de Mozart à Versailles. Elle s’est classée deuxième au concours Operalia de Placido Domingo 2013.
À l’Opéra-Comique de Paris 2014, elle a chanté une version vivante de la Ciboulette de Hahn. Marzelline a rejoint le groupe de l’Opéra de Zurich il y a un an et a chanté Fidelio de Beethoven, Morgana dans Alcina de Haendel et Melantho dans Le Retour d’Ulysse de Monteverdi. Parallèlement à ses autres réalisations de 2014, elle a été surnommée « Artiste Lyrique ».
Au second semestre, elle joue Servilia dans La Clémence de Titus, un opéra de Mozart, au Théâtre des Champs-Elysées, et le public français la voit interpréter Les Boréades de Rameau au Festival d’Aix-en-Provence. , sous la direction de Minkowski.En raison de sa polyvalence en tant que musicienne, chanteuse et interprète, Julie Fuchs a collaboré avec de grands noms du jazz dont Paco Seri et Giovanni Mirabassi.
À l’Opéra de Paris, elle interprète le rôle de La Folie dans Platée de Rameau en 2015. Elle interprète également le rôle de la Comtesse de Folleville dans Le voyage à Reims à Zurich de Rossini. En 2016, l’actrice française sera vue dans une production à Salzbourg de Haendel, dans les rôles de Galatée et Acis. Dans la pièce La Fille du Régiment de Donizetti à Lausanne, elle joue le rôle de Marie.
Avant d’interpréter Leïla dans Les Pêcheurs de Perles de Bizet au Théâtre des Champs-Elysées, elle a interprété le rôle d’Esther dans Trompe-la-mort de Francesconi à l’Opéra de Paris en 2017. Elle a interprété le rôle de Giunia dans Lucio Silla de Mozart au Teatro Real de Madrid, Nannetta dans Falstaff de Verdi et Lucio Silla au Théâtre Carmen avant d’incarner la Comtesse Adèle dans Le Comte Ory de Rossini à l’Opéra Comique.
L’année suivante, elle joue le rôle de Poppée dans Le Couronnement de Poppée de Monteverdi au Festival de Zurich. Dans son rôle de Fiorilla dans Le Turc en Italie de Rossini en 2019, la maison où elle chante Eurydice dans Orphée aux Enfers à Avignon sert également de décor. Elle a également interprété le concert Carmen du Festival Menuhin de Gstaad dans le rôle de Michaela et l’entrée au répertoire de la Bastille des Indes galantes dans le rôle d’Emilie et Fatime. Elle a fait ses débuts sur scène dans le rôle de Norina dans Don Pasquale à Zürich.
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